• « Big Brother » tient à garder la muselière qu’il a réussi à nous mettre (en fait cela n’a pas été difficile !). 

     

    Bien sûr, plus l’on fera de détections COVID 19, plus on trouvera de malades... Ce qui permet de titrer, par exemple : « Covid-19 : hausse de cas record depuis mai en France, le port du masque étendu à Paris ». Ce qui est intéressant, c’est l’évolution de la mortalité observée... Et là, les statistiques sont sans appel (voir graphique ci-dessous)! 

     

     

    « Big Brother » et sa muselière

    Si vous voulez aller plus loin dans la réflexion, excellent article : 

    https://www.lesalonbeige.fr/le-docteur-knock-est-au-pouvoir/

     Nota : D’ailleurs, les médias le reconnaissent implicitement (Ouest-France 18 août) :« Attention, cette baisse soudaine n’est pas à créditer à l’efficacité des gestes barrières ou à une disparition du virus. Elle est sans doute imputable au calendrier, et à la présence d’un jour férié le samedi 15 août. Chassé-croisé des vacances, laboratoires fermés, moins de patients potentiels se sont fait tester, moins aussi de remontées des résultats. Et l’équation est simple : moins de tests = moins de nouveaux cas détectés.

    Les données détaillées de Santé publique France pour le nombre de tests réalisés la journée du 15 août ne sont pas encore disponibles ce 17 août au soir. »

     

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  • Votre invitation autour d'un buffet bourguignon : ouvrez le ban !

     

    Lettre ouverte à Monsieur Larrivé, député de l’Yonne

    Monsieur,

    Je reçois votre lettre du 24 juillet accompagnée d'un article du Figaro titré « Je souhaite que le chef de l'État et le gouvernement réussissent ». Permettez-moi de vous exprimer ma plus totale réprobation.

    L’engagement fondateur de votre existence politique relève d'un parti, Les républicains, et de son corpus d’idées, ce par l’entremise d'électeurs qui vous ont envoyé à l'Assemblée Nationale. Vous leur en êtes redevable, vous les trompez et vous vous trompez en faisant "la danse du ventre" devant Macron, ancien ministre du socialiste Hollande. L'espoir de voir décoller votre carrière politique vous mène à toutes les trahisons, même si vous habillez votre reniement de belles intentions ou saisissez l'opportunité d'une crise pour travestir votre déloyauté. Cette manœuvre ne trompe personne et constitue une forme de lamentable coming out politique.

    Vous et d'autres élus prenez la responsabilité de détricoter tout un pan de l'opposition de Droite qui en sortira rincée, décomposée, peut-être même marginalisée.

    Qui tirera "les marrons du feu" ? Les partis de l’extrême-gauche (LFI & EELV) où bien encore le RN qui apportera sur un plateau la présidence, in fine, à Macron ?

    C’est bien là votre pari, tout miser sur Macron pour un deuxième mandat vous ouvrant, pensez-vous, les portes du pouvoir et des ministères. Quel lamentable jeu politicien, quel cynisme...

    Vous n'avez pas eu de mots assez durs pour Macron et sa politique, écrivant même il y a seulement dix-huit mois un livre « Le coup d'état Macron », pour aujourd'hui le célébrer. Quelle préface donniez-vous à votre livre ?

     « Plus d’un an après l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, le moment est venu de démontrer et dénoncer la logique de son règne : celle d’un coup d’État insidieux, par lequel le Prince cherche à accaparer, mois après mois, tous les pouvoirs de l’État.

    Sa présidence égocratique est celle d’une régression antidémocratique : un principat concentré dans les mains d’un homme et des palatins qui composent sa cour. Et parce qu’il est le premier lieu du pluralisme et de la défense des libertés, le Parlement est aussi le premier à être attaqué.

    Mais l’étrange coup d’État Macron aboutit à un paradoxe : le président de la force est celui de la faiblesse. Tandis que le Prince s’empare de la République, la nation est fracturée par l’impuissance de l’État à protéger vraiment les Français et à dessiner notre avenir. Pour que la France se réconcilie avec elle-même, il faut préparer, dès maintenant, l’après-Macron. »

    Votre posture actuelle n’en est que plus ignoble et représente une forme de parjure.

    Vous qui avez voté contre le projet de loi relatif à la bioéthique en première lecture, n'étiez même pas présent dans l’hémicycle pour la deuxième lecture. Lamentable attitude. Cette loi est fondamentalement mauvaise et vous trouve déjà consentant, prêt à n'importe quoi pour fouler les marches du pouvoir.

    Je ne suis encarté Les Républicains qu’automatiquement par mon adhésion à Sens Commun. Tout cela est bien fini avec un amer sentiment de trahison, un grand vide politique et le sentiment d'une duperie de plus.

    Et vous osez revendiquer votre présidence de la Fédération LR de l'Yonne ! Pourquoi ne pas rejoindre le parti macronien puisque vos idées vous y inclinent ? Pour garder deux fers au feu ? Soyez cohérent, soyez courageux, allez au bout de vos idées !

    Soyez néanmoins rassuré, vous aurez toujours le soutien de la majorité de vos collègues icaunais, des électeurs et militants sans colonne vertébrale politique qui rougissent de plaisir aux petites attentions du gentil Guillaume. Le buffet bourguignon auquel vous m'invitez le 17 septembre relève tout à fait de ce racolage électoral lamentable, je n’y participerai pas.

    Monsieur le député Larrivé, préférer votre carrière personnelle au redressement de la France vous apportera des honneurs mais vous aura fait perdre le vôtre.

    Recevez mes plus sincères condoléances pour cet honneur perdu.

    Jean-Luc Boulard,

     

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    5 commentaires
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    Projet de loi relatif à la bioéthique : ce que l'Assemblée nationale s'apprête à voter dans cette période léthargique estivale est une véritable atteinte à l'éthique humaine, une escalade digne de la barbarie nazie, mais soft...
    Ce communiqué ne doit pas se lire comme une page de catéchisme, elle s'adresse à tous : croyants ou incroyants.

    Communiqué de Monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, en date du 18 juillet 2020

    Communiqué de Monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, en date du 18 juillet 2020


    En dépit de la crise sanitaire du coronavirus et des graves difficultés économiques et sociales qui en découlent (récession, faillites en chaîne, explosion prévisible du nombre de demandeurs d’emploi, etc.), le Président de la République a souhaité prolonger jusqu’au 31 juillet la session extraordinaire du Parlement en vue de l’examen, en seconde lecture, à l’Assemblée nationale, du projet de loi relatif à la bioéthique. Le Président de la République et le gouvernement font ainsi de l’adoption de ce texte une priorité absolue, contrairement à l’écrasante majorité de nos concitoyens qui, dans le contexte actuel, sont 71% à penser que ce projet de loi devrait être suspendu ou retiré… ou qui ne sont que 1% à considérer que la procréation médicalement assistée pour les femmes seules et les couples de femmes est une priorité, selon une enquête IFOP réalisée du 12 au 15 juin 2020 auprès d’un échantillon représentatif de 1005 personnes…

    Ce parti-pris en dit long sur les présupposés idéologiques qui semblent inspirer l’action des pouvoirs publics, comme sur l’influence prédominante qu’exercent, au sein de la classe politique et des milieux dirigeants, certains lobbies, pourtant ultra-minoritaires.

    Faut-il rappeler que l’ouverture, sans motif thérapeutique d’infertilité, de la procréation médicalement assistée aux femmes célibataires comme aux couples de femmes, revient à priver délibérément les enfants ainsi conçus de toute possibilité de connaître leur père et leur filiation paternelle, en dépit de la Convention internationale des droits de l’enfant de l’ONU ratifiée par la France selon laquelle tout enfant a « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux »(art 7-1) ?

    Le projet de loi bioéthique sera examiné en séance publique à partir du 27 juillet à l’Assemblée nationale, mais les travaux de la « commission spéciale bioéthique » qui viennent de s’achever ont considérablement aggravé le contenu du texte que l’Assemblée nationale avait adopté en première lecture au mois d’octobre 2019 et que le Sénat avait profondément remanié en février dernier.

    Ne reculant devant aucune transgression, les « apprentis-sorciers » de la « commission spéciale » sont en effet à l’origine d’un certain nombre de dispositions, qui se traduisent incontestablement par une « rupture anthropologique majeure ».

    C’est ainsi que la « méthode ROPA » (« réception des ovocytes de la partenaire »), qui consiste à féconder l’ovocyte d’une femme avant de le réimplanter dans l’utérus de sa compagne, pour que l’une et l’autre puissent être reconnues comme étant la mère du même enfant, pourrait être légalisée, au prix d’un véritable éclatement de la maternité… A moins qu’il s’agisse d’une tactique visant à minimiser la gravité de la « PMA sans père » auprès des députés pour emporter plus facilement leur adhésion !

    La commission spéciale entend également autoriser la création d’embryons transgéniques, c’est-à-dire la modification génétique des embryons humains, qui risque fort d’aboutir, à plus ou moins brève échéance, à la naissance d’enfants génétiquement modifiés.

    Les membres de la commission ont encore la prétention d’autoriser la fabrication d’embryons chimères homme-animal, par insertion de cellules-souches humaines dans des embryons d’animaux.

    L’élargissement du diagnostic préimplantatoire (DPI), c’est-à-dire du dépistage prénatal en vue de la destruction des embryons porteurs de certaines anomalies chromosomiques (telles que la trisomie 21) serait autorisé, à des fins ouvertement eugénistes.

    Dans le même esprit, la commission spéciale bioéthique de l’Assemblée nationale autorise l’autoconservation des ovocytes (sans raison médicale) afin d’inciter les femmes en âge de procréer à remettre à plus tard leur projet de maternité… par PMA. Elle valide la technique du « bébé médicament », qui consiste à permettre la naissance d’un embryon exempt d’anomalies en vue d’utiliser ses cellules pour soigner un frère ou une sœur. Elle a voté la suppression du délai de réflexion d’une semaine avant une IMG (« Interruption Médicale de Grossesse », qui peut être pratiquée jusqu’à la veille de la naissance). Elle prévoit enfin la transcription automatique à l’état civil des enfants nés à l’étranger d’une GPA (« Gestation pour Autrui »).

    Dans ces conditions, qui ne serait effrayé devant une telle manipulation de l’être humain, réduit à un matériau disponible aux désirs égoïstes d’une minorité de privilégiés qui pèsent sur le marché, ou à des fins de recherche médicale, quand on prétend par ailleurs déployer tant d’énergies pour sauvegarder les espèces animales au nom de la protection de l’environnement ?

    Comment ne pas manifester son indignation devant ce qui apparaît comme un passage en force, en plein cœur de la torpeur estivale, alors qu’après l’épreuve du confinement, les français sont en quête de détente et d ‘évasion ? Il est même à craindre que la psychose entretenue par la classe politico-médiatique autour d’une hypothétique deuxième vague de l’épidémie, conduisant à la mise en œuvre autoritaire de moyens disproportionnés pour lutter contre la pandémie, serve à détourner l’attention des citoyens de ces basses manœuvres politiques. Pourquoi en effet le Premier Ministre, dans son Discours de politique générale, omet-il d’évoquer le projet de loi bioéthique, alors qu’il est traité en urgence à l’Assemblée nationale ?

    Faut-il que la conscience de nos contemporains soit à ce point anesthésiée pour ne plus savoir prendre la mesure de la gravité de telles transgressions destructrices de la dignité de la personne humaine, à commencer par la plus vulnérable ? Pourra-t-on longtemps encore offenser le Créateur en son dessein de sagesse et d’amour ?

    Dans son encyclique « Evangile de la Vie », sur la valeur et l’inviolabilité de la vie humaine (25 mars 1995), saint Jean Paul II écrivait, en glosant l’épitre de saint Paul aux Romains : « Une grande partie de la société actuelle se montre tristement semblable à l'humanité que Paul décrit dans la Lettre aux Romains. Elle est faite d'« hommes qui tiennent la vérité captive dans l'injustice » (1, 18): ayant renié Dieu et croyant pouvoir construire sans lui la cité terrestre, « ils ont perdu le sens dans leurs raisonnements », de sorte que « leur cœur inintelligent s'est enténébré » (1, 21); « dans leur prétention à la sagesse, ils sont devenus fous » (1, 22), ils sont devenus les auteurs d'actions dignes de mort et, « non seulement ils les font, mais ils approuvent encore ceux qui les commettent » (1, 32). Quand la conscience, cet œil lumineux de l'âme (cf. Mt 6, 22-23), appelle « bien le mal et mal le bien » (Is 5, 20), elle prend le chemin de la dégénérescence la plus inquiétante et de la cécité morale la plus ténébreuse ».

    « Cependant, ajoutait-il, toutes les influences et les efforts pour imposer le silence n'arrivent pas à faire taire la voix du Seigneur qui retentit dans la conscience de tout homme ; car c'est toujours à partir de ce sanctuaire intime de la conscience que l'on peut reprendre un nouveau cheminement d'amour, d'accueil et de service de la vie humaine » (n. 24).

    Il ne manque pas d’hommes et de femmes de bonne volonté, dont la conscience est droite, et qui par leur témoignage, parfois héroïque, contribueront au Réveil des consciences.

    + Marc Aillet

    Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron,
    le 18 juillet 2020

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  • Bachelot, entre trahison et reniement...

    Dans la série des transfuges de Droite vers l’actuel président Macron (celui qui tua politiquement son mentor socialiste Hollande pour prendre sa place) Roselyne Bachelot, nommée ministre de la Culture. L’ancienne ministre de la Santé et des Sports de Sarkozy déclarait pourtant ne jamais souhaiter revenir en politique.

    Celle qui baignait depuis dans les émissions "people" comme le Grand Journal, On n’est pas couché, Les grosses têtes de RTL, Touche pas à mon poste ! affirmait, péremptoire : « Je ne reviendrai pas, c’est une décision irrévocable que j’ai prise (…) la politique est une drogue, les gens le savent, et ils pensent que je suis gravement intoxiquée et que si on me fait une proposition, je l’accepterai. Et non ! » (Grand Journal en octobre 2016).

    « Jamais vous ne reviendrez à la politique ? » la questionne t-on (On n’est pas couché en octobre 2017). « Jamais ! J’ai pris cette décision bien avant 2012, j’en avais fixé l’échéance. Je respecte en général mes engagements. » affirmait la femme politique.

    Deux mois plus tard, au cours d’un entretien accordé au JT de France 3, de nouveau  sur un éventuel retour en politique : « Le retour de Roselyne Bachelot en politique, c’est totalement inconcevable. On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Il ne faut pas. Il faut que les choses soient irrémédiables, sinon elles n’ont pas de noblesse ».

    Invitée au micro de La chaîne parlementaire, Roselyne Bachelot confiait également : « comme disait un de mes amis, tu aimes trop la culture pour en être la ministre. »

    En 2016, parlant des remaniements ministériel en général (C à vous) elle assassinait Macron en déclarant : « Le remaniement, c’est la dernière arme des gens qui voient le pouvoir leur échapper. Et le seul pouvoir qui leur reste, c'est le pouvoir de nomination. Ils empaillent leur ministres sur les murs pour faire oublier leurs échecs ».

    Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis affirme le dicton... Preuve que l'on peut être imbécile et changer d'avis...

    En attendant, l’électeur se détourne de ces jeux,  la classe politique pleurniche beaucoup sur « la montée des populismes », ces reniements permanents en font le lit…  

    Jean-Luc Boulard

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  • Monsieur le Consul général Jean Raspail, les Patagons vous saluent !

    Ce matin à 10 heures mercredi 17 juin 2020), l’église Saint-Roch était pleine pour rendre un dernier hommage à l’écrivain et aventurier Jean Raspail. Après un silence solennel, le cercueil recouvert d’un drapeau patagon s’est avancé jusqu’au bas de l’autel. Ponctuées par de beaux chants grégoriens, les litanies latines du rite traditionnel catholique semblaient sorties d’un autre monde. Dans l’assemblée se mêlaient des figures politiques, comme Philippe de Villiers, des princes, comme le comte de Paris, ou encore des marins exhibant fièrement leur uniforme bleu marine. Tout ce beau monde était venu dire adieu à Jean Raspail, à la fois mari et père, aventurier et créateur. Point de témoignages larmoyants ou de panégyriques outranciers, seul un discours fut prononcé, pour rendre hommage à l’œuvre de l’écrivain : rédacteur en chef du Figaro littéraire, Étienne de Montety a égrené sous les voûtes de Saint-Roch les noms des créatures qui composent le convoi funèbre de Jean Raspail : à l’évocation de ses lectures, chacun souriait avec un peu de nostalgie.

    En chaire, l’abbé Thierry Laurent a salué l’héroïsme, l’idéal et la charité du défunt. À 15 ans à peine, en pleine Occupation, il sillonnait les rues de Paris pour occuper une troupe de scouts : des deux côtés de son cercueil se tenaient des éclaireurs portant fièrement l’étendard des scouts d’Europe, en guise d’ultime hommage. L’idéal et l’héroïsme se retrouvent sans peine dans ses livres. Sans doute le Camp des saints est celui qui lui aura demandé le plus de courage. Parce qu’il posait dans ce roman dystopique la question des conséquences de l’immigration de masse, Jean Raspail s’est vu exclure de la République des lettres, celle du Quartier Latin et des auteurs bien-pensants. « On ne pardonnera jamais à Jean Raspail le Camp des saints », a conclu le prêtre. Dans une interview accordée au Figaro, Sylvain Tesson regrette que la complexité à la fois humaine et littéraire de Jean Raspail passe à la trappe : il faut dire que l’époque est peu encline à la nuance.

    Après le Camp des saints, Raspail publiait en 1981 Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie : ce roman exhumait l’histoire de cet homme parti de France dans les années 1860 pour aller conquérir la Patagonie, région d’Amérique du Sud. Après s’être autoproclamé consul de Patagonie, Jean Raspail eut la surprise de recevoir des centaines de lettres de lecteurs souhaitant être inclus dans cette aventure : avant d’être à droite, Jean Raspail était un rêveur, monarchiste par idéal et nostalgie, loin des ambitions politiques. Enfin, son dernier ouvrage, Miséricorde, reprend l’histoire d’un prêtre qui tua sa maîtresse enceinte. Cette interrogation sur la question du salut résonne comme l’ultime testament  du consul général. 

    Voir mes photos (Jean-Luc Boulard / mention à porter en cas de diffusion ou d'utilisation, libres de droits) en cliquant sur le lien ci-après :

    https://photos.app.goo.gl/cmfMDScK5GiTY1tr6

    L’actualité du mercredi 17 juin 2020 : dans la lettre quotidienne de  Valeurs Actuelles 

    Jean-Luc BOULARD

    Vice-consul de Patagonie à Sens,

    Président de la Société Royale d'Horticulture Patagone,

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