• Avoir deux poids et deux mesures…

     

    Loin, cette paisible image (Doisneau) d'un gardien de la paix parisien...

    Les manifestations lycéennes actuelles manipulées par l’extrême gauche, toujours suivies d'émeutes, rendent les services de police nerveux. Un manifestant (supposé casseur ?) l’a appris à ses dépens en prenant « une bonne châtaigne dans la tronche » pour parler cru.

     

    C’est évidemment inadmissible.

     

    L’auteur, un gardien de la paix, rapidement retrouvé, va comparaitre dès le mois de mai en correctionnelle. Bravo pour cette célérité !!!

     

    Questions :

     

    1 - Pourquoi aucune semblable efficacité lorsqu’il s’agit de ces mêmes "casseurs" ?

     

    2 - Est-ce rétroactif et applicable aux violences policières constatées lors des manifestations contre la loi Taubira ? Violences visant parfois de bien paisibles citoyens qui inauguraient leur droit à manifester et se retrouvaient confrontés à des brutes tant en uniforme qu’en civil…

     

     « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » ou « Selon que vous serez de Gauche ou de Droite, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »

     

    « Les politiques ont peur du référendum, mais Flamby ? Un coup à jouer ?Pédophilie : balayer devant sa porte… »
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  • Commentaires

    1
    nougat
    Dimanche 3 Avril 2016 à 18:33

    toujours aussi juste !cool

    2
    B. Poithillon
    Dimanche 3 Avril 2016 à 22:40

    Avec l'Ami Boulard nous avons un nouveau Pertinax !!

    Réconfortant et bien inutile (malheureusement...).

    J'ai quand même moins aimé son article mettant en cause Cohn-Bendit, Glucksman, Kouchner, Lang ("Il n'y a pas mort d'homme", dans l'affaire Strauss-Kahn & Sofitel) et l'Ecole de Francfort, car pourquoi faire l'impasse sur notre grand Serge Gainsbourg ?

    Et il aurait fallu nous dire ce qu'en pensent Finkelkraut, Zemour, Maître Goldnagel et Elisabeth Lévy (qu'on embrasse).

    Tout ça, d'ailleurs me rappelle Krivine lors d'une réunion de la Ligue Communiste Révolutionnaire en 1968, s'avisant qu'il y a le sépharade Bensaïd dans le soviet estudiantin au milieu de camarades exclusivement askhénazes : "Bon, on va être obligé de parler français" (ricanements).

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